À l'Université Senghor, on termine la formation par la prise de la photographie traditionnelle du groupe... mais cette fois, on est plus de 160! J'ai donc choisi de faire cette photo dans le stationnement extérieur du 4e étage, avec vue sur la baie. En fait, ce n'est pas juste une photo, mais aussi une vidéo. J'ai été aidé par un généreux étudiant, Mbaiornom Ngaralta Benedict, qui a pris mon téléphone en main pour saisir toutes ces images. Merci pour cette collaboration inestimable!
Je ne comprends pas pourquoi il y a un problème de son... dans la musique! Pour le vent je comprends, mais pas pour le reste. J'ai tenté de télécharger à nouveau, mais sans succès...
Senghor Couleur Café
Tous les matins ainsi qu'à toutes les pauses, on se retrouve, enseignants comme étudiants, à l'un ou l'autre des petits comptoirs à café (ou à thé) au bout d'une extrémité des corridors de chaque étage (sauf le dixième où c'est la grande cafétéria).
J'essaie d'en profiter au maximum, surtout quand certains cafetiers le préparent avec tellement de soins, comme celui du 9e étage, allant jusqu'à faire mousser un café américain!
Une autre preuve de la qualité de l'accueil de cette institution qui célèbrera, en novembre 2020, son 30e ANNIVERSITAIRE, un nouveau mot que j'ai créé pour l'occasion!
J'essaie d'en profiter au maximum, surtout quand certains cafetiers le préparent avec tellement de soins, comme celui du 9e étage, allant jusqu'à faire mousser un café américain!
Une autre preuve de la qualité de l'accueil de cette institution qui célèbrera, en novembre 2020, son 30e ANNIVERSITAIRE, un nouveau mot que j'ai créé pour l'occasion!
Début de la deuxième semaine de formation
Le temps passe rapidement à Alexandrie et c'est déjà la deuxième semaine d'activités en ce dimanche 1er mars. Cet article sert donc de rappel aux 169 participants... Où en êtes-vous dans l'élaboration de votre plan marketing? Le dernier cours avec tout le monde, c'est déjà ce mardi 3 mars à 9h30. On y parlera de marketing de la cause et de marketing de rue, derniers aspects abordés pour vous aider à finaliser votre stratégie de création.
On terminera ce dernier rendez-vous par le tirage au sort pour l'ordre de présentation des 32 travaux d'équipe ce jeudi 5 mars, suivi de la photo de tous les participants, avant d'aller manger. Je propose qu'on se réunisse au 4e étage, dans le stationnement. On reparle de tout ça mardi matin!
On terminera ce dernier rendez-vous par le tirage au sort pour l'ordre de présentation des 32 travaux d'équipe ce jeudi 5 mars, suivi de la photo de tous les participants, avant d'aller manger. Je propose qu'on se réunisse au 4e étage, dans le stationnement. On reparle de tout ça mardi matin!
Le Grand Café... mon refuge à Alexandrie
Chaque fois que je viens à Alexandrie, il y a un endroit où je reviens toujours, le Grand Café, à l'Ouest de la corniche. Parfois après une longue journée à l'université ou en après-midi, la fin de semaine. Fréquenté par des Égyptiens de classe plus favorisée, il cohabite avec le restaurant Fish Market, aussi très prisé. Non fumeur, je termine parfois le repas avec une shisha... une fois n'est pas coutume, comme on dit!
Fin de semaine... corrections et préparation de cours!
J'ai beau être bien installé sur la terrasse de l'hôtel Le Métropole, je dois travailler à corriger des travaux d'étudiants de l'Université de Montréal et continuer à préparer mes interventions de la formation que je donne présentement à l'Université Senghor à Alexandrie. Je ne me plains pas puisque c'est mon treizième séjour ici et que je n'ai pas la pression de découvrir la magnifique Bibliotheca Alexandrina, le célèbre Palais de Montazah, la Citadelle Qaitbay ou le Musée gréco-romain, je connais déjà.
Si vous voulez découvrir Alexandrie, je vous invite à visiter d'autres pages de ce blogue, écrites il y a quelques années déjà, mais qui donnent quand même un aperçu assez juste de cette ville, encore aujourd'hui. Bonne lecture!
Chemin faisant, entre l'hôtel et l'université
Tous les matins où j'enseigne, je pars de l'hôtel Le Métropole, situé à ce carrefour très occupé d'Alexandrie.
Chemin faisant, j'assiste au début des activités de la matinée sur cette rue commerciale...
Il y a ceux qui ne travaillent pas trop fort et ceux qui ont des emplois très exigeants...
Ce sont souvent des gens que je revois tous les matins, qu'ils soient très actifs... ou inactifs.
Il y a également des points de repère... Cet immeuble, par exemple, m'indique que j'ai parcouru la moitié du chemin.
Il y a des éléments qui m'accrochent plus que d'autres, comme ces chaises jaunes et vert lime qui brillent avec l'éclairage du matin.
Il y a aussi des gens qui me reconnaissent, après toutes ces années de formation que je donne, comme ce cireur de chaussures qui est bien déçu que je porte des souliers qui n'ont pas besoin de son cirage.
Il y a aussi ces vitrines paradoxales, où se côtoient les voiles qui dissimulent la chevelure des femmes et ces tenues sexy portées dans l'intimité...
Il y a des centaines de marchands qui se côtoient et qui offrent des produits souvent semblables. Comment font-ils pour survivre? Il faut dire qu'il y a plus de 5 millions d'habitants à Alexandrie, près de 20 millions au Caire et plus de 97 millions en Égypte.
Ces bicyclettes me donnent l'impression d'être plus abandonnées qu'utiles...
Ce marchand, que je revois année après année, semble avoir une fidèle clientèle pour consommer ses petits déjeuners...
Tiens, ces chaises jaunes qui reviennent encore, avec un chat cette fois. Il faut croire qu'elles attirent vraiment mon attention!
Il y a aussi ces garçons qui livrent des boissons chaudes ou des aliments aux commerçants qui ne peuvent se déplacer... À noter ces grandes flaques d'eau suite à une pluie importante. Quelques problèmes d'égoût?
Un autre chat. J'espère d'ailleurs que mes petites chattes se portent bien à la maison... Moi ici, à Alexandrie, Andréanne souvent à Ottawa ou dans sa circonscription. Heureusement, il y a Bruno qui s'en occupe. Tout va bien Bruno?
Encore et encore des produits de consommation... Vous avez besoin de cintres? Quelles couleurs vous préférez? Il y a des milliers de produits cachés sous toutes ces toiles bleues qui les protègent la nuit.
Une autre livraison... le sol est plus sec ce matin-là.
Ainsi vont les débuts de journée à Alexandrie... et certains semblent en profiter plus que d"autres!
Appétissant, n'est-ce pas? Fidèle au poste tous les matins.
Un autre chat... gardien de marchandises?
Une autre vitrine contrastante... Vous avez déjà vu de la neige à Alexandrie?
Bon, me voilà arrivé à l'université. Je vous reviendrai avec des images prises en fin de journée. Vous verrez, la dynamique change!
Première semaine de formation terminée! (Février 2020)
Jeudi 27 février, 18 h, à la sortie de l'Université Senghor après une première semaine de formation. Le temps passe très rapidement en effet. Trois cours théoriques, six blocs d'ateliers. On avance bien, avec ces 169 étudiants provenant des quatre départements. J'avoue quand même qu'au milieu de la semaine, j'ai passé le message que je n'acceptais pas les retards en classe, justement parce que j'ai beaucoup de matière à partager et qu'il est important d'être présents dans un contexte où chaque minute compte.
Ce jeudi, on a particulièrement abordé l'aspect création, le marketing de contenu et le storytelling, me permettant même de raconter, comme exemple, l'histoire de l'attribution de mon prénom, étant né deux mois après la fameuse émeute du Forum, le 15 mars 1955, il y a maintenant près de 65 ans! Ça ne me rajeunit pas... Mon père, passionné (pour ne pas dire fanatique) de l'équipe des Canadiens de Montréal, a voulu me prénommer «Maurice Richard», mais ma mère est intervenue, clamant que «Richard», c'était suffisant.
J'avais fait pour l'occasion un peu de mise en scène, portant fièrement un chandail avec mon prénom et le célèbre numéro «9». J'avoue cependant que la photo de Marilyn Monroe, qui à la question «Que portez-vous pour dormir?» répond simplement «Chanel n˚ 5» a eu plus de succès, surtout quand j'ai proposé nommer ce storytelling l'histoire charnelle de Chanel!
Parmi les derniers points forts de la journée, alors que j'expliquais comment créer un slogan, il y a naturellement eu beaucoup de rires autour de la campagne de Familiprix et de son slogan que tout le monde répétait partout au Québec, le célèbre Ah Ha... Familiprix! Il y en a cependant une autre qui ne laisse pas indifférent, car il est tellement vrai et je suis certain que Greta Thunberg l'approuverait: Si le climat était une banque on l'aurait déjà sauvé. Je crois malheureusement que l'économie demeure la priorité pour les dirigeants de cette bonne vieille Terre. Selon OXFAM, 26 milliardaires possèdent autant que la moitié de l'humanité. (LEXPRESS.fr) Quant à l'origine de ce slogan, il aurait été popularisé par Hugo Chavez lors de la COP15 en décembre 2009. Il l'avait lui même repris de militants écologistes. Comme quoi les meilleurs slogans ne sont pas toujours créés par des concepteurs publicitaires.
Ce jeudi, on a particulièrement abordé l'aspect création, le marketing de contenu et le storytelling, me permettant même de raconter, comme exemple, l'histoire de l'attribution de mon prénom, étant né deux mois après la fameuse émeute du Forum, le 15 mars 1955, il y a maintenant près de 65 ans! Ça ne me rajeunit pas... Mon père, passionné (pour ne pas dire fanatique) de l'équipe des Canadiens de Montréal, a voulu me prénommer «Maurice Richard», mais ma mère est intervenue, clamant que «Richard», c'était suffisant.
J'avais fait pour l'occasion un peu de mise en scène, portant fièrement un chandail avec mon prénom et le célèbre numéro «9». J'avoue cependant que la photo de Marilyn Monroe, qui à la question «Que portez-vous pour dormir?» répond simplement «Chanel n˚ 5» a eu plus de succès, surtout quand j'ai proposé nommer ce storytelling l'histoire charnelle de Chanel!

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