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Vue de mon bureau à l'Université Senghor |
Nous avons donc poursuivi la formation sans anicroche. Je crois d’ailleurs que les étudiants apprécient ce cours si différent de ce dont ils ont l’habitude. C’est exigeant, mais stimulant. La possibilité de travailler sur du concret, avec de véritables données, avec comme objectif de modifier des comportements les branche totalement!
À l’heure du lunch, j’ai d’ailleurs discuté avec Christian Mésenge, le directeur du département de la santé, de mon prochain passage à Alexandrie. Ma formation est en effet donnée tous les deux ans, depuis 2005, à l’automne. Je pourrais donc revenir pendant la semaine de lecture à l’Université de Montréal, en octobre prochain. À suivre.
Je savoure donc cette perspective en fumant tranquillement une chicha au Grand Café d’où je vous écris. J’ai pourtant vaguement entendu parler d’une tempête de neige d’environ 50 cm qui a frappé mon beau pays… c’est l’hiver! Je vais donc profiter, comme quelques amis me l’ont si aimablement suggéré, de la facilité de se déplacer en Égypte...
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