De retour à l'Université Senghor, encore et encore!

En direct d'Alexandrie, un treizième séjour si je ne me trompe pas. Pour la première fois depuis que j'y suis professeur associé (merci à Christian Mesenge, alors directeur du Département Santé, le premier à m'y avoir invité en décembre 2005), j'enseigne cette fois à 160 étudiants, provenant des quatre départements... Une idée du recteur Thierry Verdel, un tronc commun comme il l'appelle... un beau défi. Je vous tiendrai informé-e-s au cours des deux prochaines semaines!

De retour également à l'Hôtel Métropole qui a laissé tombé sa salle vieillotte du premier étage comme restaurant pour le transporter au sommet de l'édifice, avec vue sur la baie d'Alexandrie. C'est là que je prendrai mon petit déjeuner tous les matins, mais j'y ai aussi mangé ce soir, ce que je n'avais fait qu'une fois lors de tous mes séjours précédents. Question d'atmosphère. C'était triste... et vide, malgré la danseuse du ventre sans attrait qui s'y trémoussait.

Ce soir, il y a salle comble. Pas de danseuse, mais un pianiste, suivi d'une violoniste. Musique populaire, mais cela semble plaire. Désolé pour mes amis 100 % végan, mais je n'ai pas pu résister à l'offre du maître d'hôtel, un steak flambé, sauce aux champignons et légumes croquants, avec un peu de vin égyptien. Il fallait bien que je me récompense pour la préparation du cours de demain!

Je retourne relire tout ça, en suivant du coin de l'œil les péripéties d'Andréanne, ma députée préférée, qui a comme à son habitude des semaines très chargées!